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André VAN OEKEL, La présence de la musique au cinéma

conférence
musique

Mmmhhh tu sembles intéressé par "musique". Clique sur les mots clefs qui te plaisent... et hop ne rate plus rien les concernant. A toi de jouer !

jeu. 20 Mars

14h30-16h00

Monsieur Van OEKEL a obtenu un master et une agrégation en philologie classique et en musicologie ainsi qu’une maîtrise en communication à l’Université Catholique de Louvain.

Il a aussi participé en tant que représentant francophone au Séminaire Européen de Musique Ancienne au Collège de l’Europe à Bruges, sous la direction de Safford Cape pendant trois sessions d’été de trois semaines chacune.

Il a publié, dans le Dictionnaire des Compositeurs belges de l’an 1000 à la fin du XXe siècle édité sous la direction de Thierry LEVEAUX, 240 notices sur le Moyen Age et le XVe siècle, 12 dossiers sur des compositeurs dans des suppléments au journal Le soir et, en 2023, en collaboration avec le docteur CLEMENS, un ouvrage intitulé Mozart, un autre regard, publié aux Editions du Panthéon à Paris préfacé par José Van Dam.

La musique fut associée à l’histoire du cinéma dès le début : elle illustrait ce qui apparaissait sur l’écran au temps du cinéma muet, contribuant aussi à couvrir le bruit gênant des projecteurs. Immédiatement, des compositeurs furent sollicités et certains ont bien compris qu’un nouveau créneau s’offrait à la création musicale et ils vont s’y engouffrer avec succès.

Avec l’arrivée du cinéma parlant, la nature et la fonction de la musique évoluent : son pouvoir d’évocation et d’expression aussi. Elle va constituer un des éléments mis à la disposition du réalisateur. À la différence de l’opéra, la musique n’est pas prédominante au cinéma : elle est un des éléments de la bande son, au même titre que les bruits et les voix.

La musique peut être objet ou sujet d’un film, sa présence étant dans ce cas évidemment plus prépondérante. Mais de toute façon, au cinéma, la musique participe à l’action et agit de manière souvent inconsciente sur le spectateur.

Enfin, comme l’expliquait Maurice JAUBERT, le père de la musique française au cinéma, tant mieux si la musique de film peut apporter « un plus » à l’histoire de la musique.

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